Un triathlète Canadien vomit après son plongeon dans la seine aux JO 2024 : Les explications

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Cette connexion a alimenté les inquiétudes sur les conditions sanitaires de l’épreuve.

Le Point de Vue Scientifique sur l’Incident

Malgré les spéculations, les experts ont rejeté l’hypothèse d’une pollution responsable des symptômes de Mislawchuk.

Le médecin généraliste Michaël Rochoy a déclaré que « les délais entre la nage et les symptômes sont trop courts pour que l’eau de la Seine soit responsable. »

Il a expliqué que des facteurs plus probables, tels que l’intensité de l’effort physique, la production d’acide lactique, et les variations de température, pourraient expliquer le malaise du triathlète.

Le stress et les conditions climatiques extrêmes lors de la compétition ont également contribué à l’incident.

Jean-Bernard Fabre, expert en physiologie du sport, a également souligné que des éléments comme la température de l’eau et le stress de la compétition sont des causes plus probables.

L’effort intense fourni par Mislawchuk aurait pu déclencher des vomissements en raison de l’accumulation rapide d’acide lactique dans ses muscles.

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