Françoise Hardy, icône des années Yéyé, a rendu son dernier soupir le 11 juin 2024 après des années de lutte acharnée contre la maladie. Après avoir longtemps souffert, elle est finalement décédée dans un lit d’hôpital, une fin de vie qu’elle aurait souhaité plus sereine. Malgré les années de séparation, Jacques Dutronc, son mari, et Thomas Dutronc, leur fils, ont eu du mal à accepter cette perte.
Dès 2022, Françoise Hardy exprimait son désir de mettre fin à ses souffrances. “Ma vie est devenue si difficile que j’aimerais parfois partir pendant mon sommeil et ne pas me réveiller”, confiait-elle. Paris Match révèle que ce n’est pas chez elle, mais bien dans un lit d’hôpital qu’elle a finalement trouvé la paix. Ce magazine a également mis en lumière une requête de Thomas Dutronc à son père, restée sans réponse.
L’annonce de la mort et l’éloignement familial
Lorsque la mort de Françoise Hardy a été annoncée, Thomas Dutronc n’était pas présent auprès de sa mère. Françoise Hardy avait expressément souhaité tenir son fils et Jacques Dutronc à l’écart de ses derniers moments. Ainsi, c’est entourée de sa nièce et de son attaché de presse qu’elle s’est éteinte, laissant Thomas et Jacques dans l’attente de plusieurs jours avant de pouvoir se recueillir.
Le fils unique de Françoise Hardy a dû patienter trois jours avant de voir la dépouille de sa mère. Un moment d’une intensité émotionnelle forte qu’il ne souhaitait pas vivre seul. Cependant, lorsque Thomas Dutronc a demandé à son père de l’accompagner, il a rencontré un refus, déclenchant un désaccord entre les deux hommes.
Un désaccord douloureux entre père et fils
Afin de ne pas être seul face à la dépouille de sa mère, Thomas Dutronc a sollicité la présence de Jacques Dutronc. Malheureusement, Jacques Dutronc, âgé de 81 ans, a décliné la demande, expliquant qu’il ne se sentait pas capable de supporter la vue de Françoise Hardy décédée. Ce refus a causé un profond désaccord entre père et fils, marquant un point de tension dans cette période déjà difficile.
Jacques Dutronc a néanmoins montré un geste de respect après les obsèques en achetant une concession au cimetière de Monticello pour y déposer les cendres de Françoise Hardy. Il a également acquis une concession pour lui-même, afin que les deux anciens amants puissent reposer ensemble pour l’éternité.
Thomas Dutronc soutenu par ses proches et ses fans
Après la mort de sa mère, Thomas Dutronc a pu compter sur le soutien de son père, de ses proches et de ses fans. Ces derniers lui ont offert une surprise touchante : son concert à La Cigale était complet. C’est sur son compte Instagram que Thomas a partagé cette nouvelle, révélant également que son prochain concert à l’Olympia était déjà prévu pour le 15 mai 2025.
Françoise Hardy avait insisté pour que son fils continue ses concerts même après sa mort. “Tu ne dois rien annuler pour moi. Tu dois continuer à travailler, la vie doit continuer”, lui avait-elle dit. En suivant les dernières volontés de sa mère, Thomas Dutronc a trouvé la force de continuer, soutenu par l’amour et le respect de ses fans.
La disparition de Françoise Hardy a non seulement marqué la fin d’une époque pour ses admirateurs, mais elle a également mis en lumière les désaccords familiaux entre Jacques et Thomas Dutronc. Ces tensions ont révélé la complexité des relations et des émotions dans un moment aussi délicat. Malgré tout, Thomas Dutronc poursuit son chemin, honorant la mémoire de sa mère par sa musique et son dévouement à son art.
Ainsi, ce désaccord entre Jacques et Thomas Dutronc avant les obsèques de Françoise Hardy reste un chapitre poignant de l’histoire de cette famille emblématique de la chanson française.
Depuis plus d’une décennie maintenant, je me livre à la passionnante entreprise d’écrire des articles, et je ne peux que m’en réjouir ! Il n’y a rien de plus gratifiant que de partager son point de vue sur des sujets aussi variés que le lifestyle, les sujets high-tech ou encore les médias, et d’offrir ainsi un regard neuf sur notre monde en constante évolution. Et cela, je l’aime tout particulièrement, j’en suis dingue même !
