Le 31 mars 2025, un tremblement politique a secoué la France. La cheffe de file du Rassemblement National (RN), Marine Le Pen, a été condamnée à une peine de cinq ans d’inéligibilité, une décision qui remet en question ses ambitions futures et celles du parti qu’elle dirige. Alors que cette annonce est tombée, la réaction de son successeur désigné, Jordan Bardella, a attiré l’attention, provoquant un mélange d’inquiétude et d’espoir au sein des partisans du RN.
Un jugement lourd de conséquences
Lorsque la sentence a été prononcée, Marine Le Pen a immédiatement reconnu la gravité de la situation en déclarant : « Je suis éliminée ».
Pour beaucoup, ce constat était inévitable, notamment après des mois de spéculations autour de ses futures candidatures, en particulier pour la présidentielle de 2027. Cette inéligibilité ne signifie pas seulement que Le Pen ne pourra pas se présenter, elle soulève aussi une multitude de questions sur l’avenir du RN.
La réaction de Jordan Bardella
En tant que président du RN, Jordan Bardella a fait entendre sa voix face à cette décision de justice. Dans une déclaration pleine d’émotion, il a exprimé son soutien à Marine Le Pen, tout en appelant à « une mobilisation populaire et pacifique » en réponse à ce qu’il considère comme une « violence anti-démocratique ». Ce discours a trouvé un écho chez de nombreux sympathisants de droite et d’extrême droite, qui voient dans cette condamnation une attaque contre leurs idées.
Un avenir incertain pour le Rassemblement National
La question qui se pose alors est : qui pour représenter le RN à l’avenir ? Jordan Bardella, souvent décrit comme l’héritier naturel de Marine Le Pen, apparaît comme un candidat idéal.
Il a également assuré qu’il ne se percevait pas simplement comme un successeur, mais comme un acteur clé qui pourrait orienter le mouvement vers l’avenir. Ses récentes prises de parole, notamment à l’occasion d’un interview sur le journal de 20 heures, montrent qu’il est prêt à prendre le leadership de l’extrême droite française.
