Elle a souligné que, malgré les assurances données par les organisateurs, l’eau restait dans un état préoccupant. « La Seine est sale depuis cent ans, alors ils ne peuvent pas dire que la sécurité des athlètes est une priorité.
C’est des conneries, » s’est-elle indignée. Son témoignage a jeté une lumière crue sur les conditions dans lesquelles les athlètes ont dû concourir, amplifiant les inquiétudes déjà présentes dans le public.
Les Critiques au-delà de l’Expérience Personnelle
Les critiques de Jolien Vermeylen ne se limitaient pas à son expérience personnelle. Elle a aussi soulevé des questions plus larges sur l’organisation des Jeux Olympiques et la gestion des conditions de compétition.
« Nous avions déjà pensé que le jour de la course, l’eau serait miraculeusement bonne, et regardez… Il a plu cette nuit, donc ça ne peut pas être bon. Mais quand même : un miracle, » a-t-elle pesté.
Ses commentaires reflètent une déception généralisée parmi les athlètes qui ont été confrontés à des conditions qu’ils jugent inacceptables pour une compétition de cette envergure.
La Réponse des Organisateurs des JO 2024
Face à ces critiques, les organisateurs des JO 2024 ont maintenu leur position. Anne Descamps, porte-parole du comité d’organisation, a exprimé sa satisfaction quant aux mesures prises pour garantir la qualité de l’eau.