« Je refuse qu’on pleure » : Le père de Kamilya tuée par une moto se confie

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Sur les réseaux sociaux, le père de Kamilya a exprimé son indignation face à la décision des magistrats, jugeant qu’elle laissait les délinquants routiers agir en toute impunité.

Le motard a été placé sous contrôle judiciaire strict, avec plusieurs interdictions et obligations : il doit se signaler au commissariat deux fois par mois, il ne peut pas se rendre à Vallauris, il n’a pas le droit d’entrer en contact avec la famille de la victime, il a rendu son permis de conduire et il est interdit de quitter les Alpes-Maritimes.

Cette décision a provoqué une vague de mécontentement parmi les habitants et les proches de Kamilya, qui estiment que la justice n’a pas pris des mesures suffisamment sévères pour ce délit.

Réactions de la communauté et appel à la justice

Lors du rassemblement à Vallauris, de nombreux riverains ont exprimé leur colère et leur tristesse. Une habitante s’est indignée : « Logiquement, ils auraient dû le mettre en garde à vue, en prison et point final, au moins pendant six mois ou un an, pour montrer un exemple. »

Cette réaction démontre un sentiment partagé au sein de la communauté, qui réclame des sanctions plus fermes pour prévenir de tels incidents à l’avenir.

Le parquet a fait appel de la décision de remise en liberté du motard, et le décès de Kamilya pourrait influencer l’issue de cette affaire.

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