Glorian Kabongo, antiquaire renommé et figure emblématique de l’émission Affaire conclue, a tragiquement perdu la vie à l’âge de 57 ans. Sa disparition, survenue le 19 février 2025, a laissé un vide énorme dans le cœur de sa famille, de ses amis, mais aussi de milliers de téléspectateurs qui ont suivi son parcours avec passion.
Aujourd’hui, son épouse Angélique se lève pour partager le voyage exceptionnel qu’ils ont entrepris ensemble, témoignant de leur amour et des souvenirs inoubliables qu’ils ont créés. Cette histoire poignante évoque non seulement un homme exceptionnel, mais aussi la force de l’amour dans les moments les plus difficiles.
Une passion pour les antiquités
Glorian Kabongo n’était pas qu’un simple acheteur ; il était un véritable passionné des objets du passé. Né en Belgique, son amour pour l’art et l’histoire a commencé dès son plus jeune âge. Dès ses 10 ans, il arpentait les brocantes locales, émerveillé par les trésors oubliés que chacun pouvait déceler. Pour lui, chaque objet avait une histoire, une âme, et c’est cette quête de récits intégrés dans la matière qui l’a propulsé vers une carrière fulgurante dans le monde des antiquités.
Affaire conclue : un tremplin pour son talent
En 2021, Glorian a rejoint l’équipe de France 2 dans l’émission « Affaire conclue ». Son charme et son expertise ont rapidement captivé le public. Que ce soit pour estimer une table du XIXe siècle ou une toile oubliée, Glorian avait cette capacité unique à rendre visible ce que d’autres auraient négligé. Angélique se souvient de la première fois où elle l’a vu à la télévision : « Il avait ce sourire tellement communicatif. Je savais qu’il ne s’agissait pas simplement d’argent, mais d’échanges émotionnels. »
Une histoire d’amour à raconter
Glorian et Angélique ont commencé leur histoire d’amour autour d’un café dans une petite antiquité. Cette passion commune a renforcé leur lien. Chaque week-end, ils visitaient des foires d’antiquités, cherchant des pièces rares à ajouter à leur collection. Angélique raconte qu’ensemble, ils ont ressenti une connexion inébranlable : « Nous partagions un amour immense non seulement pour les objets, mais aussi pour les histoires et les secrets qu’ils recélaient. »
