Découverte choquante : Michael Landon, l’interprète de Charles Ingalls dans ‘La Petite Maison dans la Prairie’, sous un nouveau jour

Michael Landon

La série « La Petite Maison dans la Prairie » a marqué des générations de téléspectateurs, mais aujourd’hui, des révélations choquantes sur l’un de ses acteurs principaux, Michael Landon, jettent une ombre sur son héritage. Loin de l’image rassurante du bon père de famille qu’il incarnait, il se révèle être un homme aux multiples facettes.

Michael Landon, qui a joué le rôle de Charles Ingalls, a toujours fasciné les fans avec son sourire et sa bonté. Cependant, des anecdotes récentes ont émergé, dévoilant un personnage bien différent dans les coulisses de la série. C’est l’actrice Karen Grassle, qui incarnait son épouse Caroline, qui a brisé le silence.

Dans son livre, « Lumières vives, poussière de prairie », publié le 16 novembre, elle décrit un homme aux comportements très problématiques. Landon se distinguait par des remarques humiliantes et un comportement inapproprié faisant fi des valeurs familiales qu’il prétendait défendre.

Le récit de Grassle peint un tableau troublant, exposant une facette sombre d’un homme pris dans les excès. Elle évoque une atmosphère de vulgarité et d’alcool, contrastant avec l’image du fermier dévoué. Les scènes de tournage étaient imprégnées d’un air lourd, où les règles n’étaient guère respectées.

Alison Arngrim, qui incarne la célèbre Nellie Oleson, a également partagé son expérience. Elle corroborerait les accusations, affirmant que Landon était bien plus fou et dangereux qu’il n’y paraît. Ses révélations ajoutent une couche de complexité à ce personnage iconique de la télévision.

Dans une interview pour le Daily Mail, Arngrim dépeint Landon comme une figure complexe, entre génie comique et comportements répréhensibles. Cette dualité ressort de chaque témoignage.

Arngrim ne se contente pas de critiquer ; elle admet aussi que, malgré tout cela, il était aussi talentueux et hilarant. Cette ambivalence rend difficile la compréhension de son héritage dans l’industrie du divertissement. Peut-on vraiment dissocier l’artiste de l’homme ?

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